Projet

dossier Lijssenthoek Le cimetière au hameau "Lijssenthoek" a évolué naturellement pendant la Grande Guerre des hôpitaux de campagne français, britanniques et canadiens qui y étaient installés. Dans les périodes de pointe, des tentes et des baraques disposaient de quatre mille lits d'hôpital.

La location porte le nom Remy, d'après le fermier Remi Quaghebuer. C'est dans sa ferme et sur les champs avoisinants que le site hospitalier s'est développé.

En juin 2009 un projet de recherche a été lancé sur les soins médicaux à Lijssenthoek.  En parallèle, la recherche focalise sur Lijssenthoek comme ‘Miroir d'une guerre au quotidien '. En effet, celui qui était blessé au front, fut emmené ici. Et celui qui trouvait la mort à l'hôpital, y fut enterré. De ce fait, le cimetière est aujourd'hui un témoin impressionnant de plus de quatre années de violences de guerre quotidiennes sur le Saillant d'Ypres.

Ce projet de recherche tente à effiler l'histoire de la Grande Guerre et à la lier aux presque onze mille tombes (chacune porte un nom) de Lijssenthoek Military Cemetary - et par la suite à autant d'histoires personnelles.

Finalement le projet de recherche offre le contenu du centre d'interprétation, qui ouvrira ses portes le 21 septembre 2012.

plan de Lijssenthoek


Le projet is financé par la Communauté flamande et la ville de Poperinge. Les partenaires du projet sont Talbot House, the Commonwealth War Graves Commission, In Flanders Fields Museum, Memorial Museum Passchendaele 1917 et le réseau Oorlog en Vrede in de Westhoek.